L’eau du robinet est un produit et un service auxquels les consommateurs renouvellent leur satisfaction en 2015
Les taux de satisfaction sont très élevés, que çà soit envers le service public de l’eau dans leur commune (84 %) ou envers le produit eau du robinet (72 %). C’est ce que j’ai annoncé le 9 avril 2015 lors de la conférence de presse de présentation des nouveaux résultats du Baromètre TNS Sofres/Centre d’information sur l’eau.
Plus de 8 consommateurs sur 10 font confiance à l’eau du robinet
Les satisfaits attribuent des dimensions positives à l’eau du robinet : elle est claire – sans danger pour la santé – naturelle – douce. La confiance en l’eau du robinet repose sur le fait que les consommateurs savent que l’eau est contrôlée et que les normes de qualité sont exigeantes. Rappelons que l’eau du robinet est le produit alimentaire le plus contrôlé avec 13 millions d’analyses par les agences régionales de santé chaque année, sans compter l’auto surveillance des gestionnaires des services d’eau.
La qualité de l’eau ne cesse de s’améliorer depuis 10 ans
Actuellement, la population est alimentée en permanence par une eau globalement de bonne qualité. microbiologique. C’est ce que confirme le ministère de la Santé dans ses derniers rapports sur la qualité de l’eau du robinet.
66 % déclarent boire de l’eau du robinet tous les jours
66 % des personnes interrogées déclarent boire de l’eau du robinet tous les jours tandis qu’ils sont 48 % à faire la même déclaration pour l’eau en bouteille. Boire de l’eau du robinet, c’est d’abord pour des motifs liés à sa qualité globale : commodité d’usage, confiance qu’elle inspire, pas chère et écologique.
les consommateurs lâchent la carafe filtrante
72 % déclarent n’utiliser aucun appareil de traitement de l’eau à leur domicile, ce qui illustre bien leur satisfaction en la qualité de l’eau du robinet et leur confiance dans celle-ci.
Les Français sont inquiets vis à vis des ressources naturelles en eau
Pour 98 %, l’importance de la préservation des ressources en eau ne fait pas débat. D’autant qu’ils sont convaincus qu’elles sont polluées, que leur qualité se dégradera dans les années à venir et qu’ils devront dans leur région faire face à des pénuriesd’ici 30 à 50 ans. Les gestes responsables restent motivés par l’argument économique mais un peu mojns que l’an dernier (49 % versus 53 % en 2013). Ils sont plus enclins cette année à agir pour des raisons environnementales.